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Mur des Fusillés à la Citadelle d'Arras

Mémorial du mur des 218 fusillés à la Citadelle d'Arras 

 

Le mémorial se situe dans les fossés de la Citadelle d'Arras où furent fusillés 218 personnes du 21 Août 1941 au 21 Juillet 1944 

 

Un poteau symbolise ceux sur lesquels furent attachées les victimes, âgés de 16 à 69 ans

218 plaques sont fixées le long des murs de la citadelle.

Celles-ci rappellent le nom de tous les fusillés avec leur année de naissance et celle de leur mort, leur lieu d'origine et métier.

Les fusillés appartenaient à neuf nationalités différentes : 189 Français, 15 Polonais, 5 Belges, 3 Soviétiques, 2 Portugais, 1 Italien, 1 Hongrois, 1 Tchèque, 1 Yougoslave.

 

Toutes les catégories sociales étaient représentées : 1 prêtre, 7 enseignants, 10 artisans, commerçants, 11 cultivateurs, 16 employés, fonctionnaires, 10 cheminots SNCF, 33 ouvriers, 130 mineurs.

Monument des Cheminots à Avion

Monument dédié aux Cheminots Résistants Déportés, Fusillés et Victimes des Bombardements

 

Au cœur de la cité des cheminots, sur la Place des Martyrs de la Résistance, se dresse le monument en l’honneur des cheminots résistants, inauguré le 7 mai 1972.

 

Une voie ferrée monte au milieu d’un massif fleuri et se termine par des rails tordus en forme de flamme enchevêtrés de traverses. Cette mise en scène simule un sabotage des voies.

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Pont Césarine à Lens 

Cérémonie en souvenir de la 1ère action arméede la résistance contre l'occupant

 

Le 11 avril 1942, vers 22h, Charles Debarge, Moïse Boulanger et Marcel Ledent, trois mineurs, abattaient une sentinelle allemande du poste de garde du pont Césarine.

Un deuxième soldat allemand est blessé. Les autorités militaires allemandes proposèrent une somme de 5 000 francs pour la dénonciation des auteurs de l'attaque et, pour terroriser la population, ont fusillé 35 otages le 14 avril, dont 20 en représailles de l'attentat du 11.

Les trois membres du commando sont tous tués dans les mois qui suivent. Arrêté, Marcel Ledent est fusillé à Arras le 23 juillet 1942.

Moïse Boulanger est arrêté le 11 septembre 1942 par la gendarmerie de Carvin, remis aux Allemands, condamné à mort par le tribunal militaire d’Arras et fusillé le 03 novembre 1942.

Charles Debarge est grièvement blessé dans un échange de coups de feu avec la Gestapo, près de Ronchin, dans le Nord, le 23 septembre 1942.  Il est transféré à la prison d’Arras où il meurt sans qu'il ait repris connaissance.

Charles Debarge et Moïse Boulanger avaient 33 ans et étaient originaires d'Harnes. Marcel Ledent était un courcellois de 18 ans.

Stèle Jean Moulin à Arras

Monument en hommage à Jean Moulin et cérémonie à l'occasion de la Journée Nationale de la Résistance le 27 Mai

 

Cérémonie organisée par la préfecture du Pas-de-Calais avec la participation de l'A.N.A.C.R. du Pas-de-Calais chaque 27 Mai , date de la création du Conseil National de la Résistance, l'instance créée par la France Libre autour de Jean MOULIN pour donner plus de cohésion et d’efficacité aux différents mouvements de Résistance française pendant l’Occupation. 

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Monuments à BOURLON

Un monument a été érigé à Bourlon en 1949, à l’orée du bois, rendant hommage aux jeunes résistants tombés  au combat dans les bois de Bourlon.

Le 11 Juin 1944, juste après le débarquement de Normandie, un groupe de jeunes résistants du Pas-de-Calais tentèrent de rejoindre le Maquis des ardennes afin d'empêcher la retraite allemande.

Un groupe s'arrêta au bois de Bourlon pour une halte.

Les résistants furent repérés et encerclés par les allemands.  Après d'âpres combats et par manque de munitions, certains réussirent à s'enfuir. 

22 d’entre eux seront faits prisonniers dont 20 seront fusillés à la citadelle d’Arras et 2 seront déportés.

 

10 résistants âgés de 19 à 37 ans furent tués lors du combat dans le bois.​​

Cérémonie à Aizecourt-le-Bas

Hommage aux résistants abattus, fusillés et déportés par l'armée allemande et la gestapo alors qu'ils tentaient de rejoindre le maquis des Ardennes.

"Ouvrier de jour, résistant de nuit, Octave Drèze dut passer dans la clandestinité pour échapper à la police allemande.

Le 3 juin 1944, avec 19 de ses camarades, il partit rejoindre le maquis des Ardennes, mais il furent repérés par les troupes allemandes à la ferme Viltard d’Aizecourt-le-Bas.


Un combat eut lieu le 28 juin 1944 à Aizecourt-le-Bas (Somme). Trois résistants FFI y laissèrent la vie : Octave Drèze, Pierre Bolle et Charles Leire. Cinq autres furent blessés, d’autre exécutés plus tard ou déportés.

​source: https://maitron.fr/dreze-octave-jules-louis/, notice DRÈZE Octave, Jules, Louis par Claude Pennetier, version mise en ligne le 8 juin 2020, dernière modification le 19 juin 2024.

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Stèle René Lanoy à Sainte-Catherine-les-Arras

Monument dédié à René Lanoy, résistant.

Réné Lanoy Alias "Gilbert" et époux de Suzanne Lanoy, enseignants et résistants ont tous deux énormément contribués à l'activité résistante face à l'occupant.

 

Mi-décembre 1944,  il meurt dans un accident de la route "Supposé"  à Sainte-Catherine, alors qu'il devait être nommé préfet du Pas-de-Calais.

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